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Recherche par lecteur : Marie-Noëlle Leclerc

1765 résultats. Page 89 sur 89.

Lu par:Marie Faure
Durée:7h. 10min.
Genre littéraire:Policier/épouvante
Numéro du livre:26248
Résumé: John Wayne Cleaver est un jeune homme potentiellement dangereux. Très dangereux. Jugez-en plutôt : garçon renfermé, pour ne pas dire sociopathe, il vit au milieu des cadavres à la morgue locale, tenue par sa mère et sa tante, il a une certaine tendance à tuer les animaux et, depuis son plus jeune âge, il nourrit une véritable passion pour les tueurs en série. Ainsi, son destin semble tout tracé. Mais, conscient de son cas, John a décidé d'en parler à un psy et de respecter quelques règles très précises. Ne nourrir que des pensées positives. Ne pas s'approcher des animaux. Éviter les scènes de crime. Ce dernier commandement va néanmoins devenir très difficile à suivre lorsqu'on retrouve autour de chez lui plusieurs corps atrocement mutilés. Y aurait-il plus dangereux encore que John dans cette petite ville tranquille ? Aurait-il enfin trouvé un adversaire à sa taille ?
Durée:10h. 41min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:27742
Résumé: C'est au cours de l'été 1948 que Charlie Beale arriva à Brownsburg. Il était chargé de deux valises - l'une contenait quelques affaires et des couteaux de boucher, l'autre une importante somme d'argent. Charlie y tomba deux fois amoureux. D'abord, il s'éprit de cette ville paisible de Virginie dont les habitants semblaient vivre dignement, dans la crainte supportable d'un Dieu qu'ils avaient toutes les raisons de trouver plutôt bienveillant à leur égard. Une preuve parmi d'autres : il n'y avait encore jamais eu de crime à Brownsburg. La deuxième fois que Charlie tomba amoureux fut le jour où il rencontra Sylvan Glass.
Durée:5h. 22min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:28783
Résumé: A la suite d'un accident de voiture, la vie de Léa bascule. Tout pourrait s'arrêter là... mais elle quitte son corps, et aspirée par une lumière blanche, monte au ciel ! Qu'y a-t-il après la vie ? Va-t-elle enfin le savoir ? Léa se retrouve sur une île mystérieuse où l'attendent guides et créatures fantastiques. Bientôt elle y rencontre Paul son mari, et d'autres personnes qui sont, comme elle, en sursis. Elle découvre qu'elle a la possibilité de redescendre sur Terre. Cependant, ce retour ne se fera qu'au prix de grands bouleversements intérieurs. Epousant le rythme du récit, le lecteur suit l'héroïne tout au long de son parcours initiatique, pour trouver peu à peu ses propres réponses. La vie de Léa, c'est un peu la nôtre. Le voyage de Léa nous permet de comprendre combien notre passage sur Terre est important.
Durée:6h. 49min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:27910
Résumé: Que s'est-il passé cette nuit-là dans le paisible village de Beynac, sur les rives de la Dordogne?? Julien fut le seul témoin d'inquiétants phénomènes lumineux qui apparurent au pied du château. Quels liens pouvaient-ils avoir avec cette belle créature aperçue peu de temps après sur les lieux ? Un informaticien maniaque, une jeune femme marginale au passé mystérieux et un milliardaire imbu de son pouvoir vont voir leurs destins se mêler dans un monde où la consommation de masse est devenue le principal hobby.
Durée:1h. 24min.
Genre littéraire:Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre:24337
Résumé: court roman ramassé dans la haine, travaillé au ventre dans un langage abrupt magnifiquement traduit, relate le calvaire d'une jeune femme sans enfant que son mari trompe dans sa propre maison avec l'adolescente qu'ils ont recueillie. Quand la douleur retenue jusqu'à l'asphyxie rompra les digues du silence, Sofia s'emparera de la hache et détruira l'enfant incestueuse. Métaphore de la haine qui submerge un cœur pur, la Neva débordante s'engouffre dans Petrograd: l'eau détruit et lave comme un sang. " La vitre tintait sous le vent, des nuages gris et bas - des nuages de la ville, des nuages de pierre - passaient dans le ciel - comme s'ils étaient de retour, ces nuages étouffants de l'été que pas un orage n'avait transpercés. Sophia sentit que ces nuages n'étaient pas au-dehors, mais en elle, que depuis des mois ils s'amoncelaient comme des pierres, et qu'à présent, pour ne pas être étouffée par eux, il fallait qu'elle brise quelque chose en mille morceaux, ou bien qu'elle parte d'ici en courant, ou encore qu'elle se mette à hurler... " Evguéni Zamiatine - " ce snob flegmatique ", disait de lui Trotski - n'est pas seulement l'auteur du roman Nous autres qui reste la plus implacable dénonciation du totalitarisme soviétique. Figure centrale de la littérature russe des années vingt, il a écrit de nombreux récits, nouvelles, romans, pièces de théâtre... Exilé à sa demande, après une retentissante lettre à Staline, il devait mourir à Paris en 1937, ignoré de ces intellectuels occidentaux encore pour longtemps fascinés par le modèle soviétique. Il avait juste eu le temps de réaliser pour Jean Renoir l'adaptation des Bas Fonds de Gorki "meilleur film de l'année" en 1936. L'Inondation est un de ses chefs-d'œuvre absolus. Dans un Pétersbourg emblématique, on y voit comment son art de la narration, sa prose savante et rigoureuse, sa modernité s'inscrivent aussi dans la grande tradition russe - celle de Pouchkine, de Gogol, de Dostoïevski...